Les adultes stressent, les enfants angoissent, les bébés pleurent…

Marion - ostéopathe - me dit : « Au cabinet, je constate que, depuis novembre, de plus en plus de parents, démunis et à bout, consultent pour leurs petits, des bébés, des petits de 0 à 3 ans…

Les symptômes : pleurs inexpliqués, chagrins véritables, réveils et terreurs nocturnes… Sur le plan ostéopathique, rien ne justifie ou ne trouve une explication à cela. Y a-t-il un autre moyen d’aider ces enfants et parents ? »

Romain, ostéopathe, me confirme également une forte augmentation de consultations pour les mêmes symptômes sur les enfants de 0/3 ans : apparitions et persistance de troubles du sommeil, avec peurs et pleurs. 

Pour les enfants un peu plus grands, en plus des troubles du sommeil, il est constaté des symptômes d’angoisses, de troubles de l’attention et du comportement ainsi que des déséquilibres au niveau de la sphère pulmonaire.

 

Personnellement, dans ma pratique du processus ASKATUA libération des traumas émotionnels et physiques, j’ai constaté une augmentation des demandes de consultations pour des enfants, avec notamment des angoisses très fortes chez les plus sensibles, des troubles du comportement, des cauchemars…

 

Lorsque l’on veut me consulter pour un enfant entre 0 et 10 ans environ, je demande systématiquement et prioritairement, que la maman effectue, d'abord, un travail sans l’enfant, quel que soit le contexte. 

Et le papa ? Bien entendu qu’il est concerné et il est bienvenu aussi pour faire un travail sur lui ! Mais jusqu’à 7/10 ans, l’enfant étant beaucoup plus « branché » sur la maman, elle reste la priorité…

Parce qu’ils ne sont que les ampoules branchées
et alimentées par l’énergie générée par les parents.
Ils sont la lumière qui éclaire les zones d’ombre
.

Je m’intéresse donc d’abord à la source qui alimente l’énergie « captée » par ces enfants : tout ce qui l'entoure de près...
Dans mes propos, aucune intention de culpabilisation des parents, de la maman en particulier, c’est tout simplement une des conséquences de la communication non verbale…(80%), moyen que perçoivent essentiellement les petits.

 

Comprendre le contexte actuel sous un autre angle : …

Depuis maintenant 1 an un « état de guerre » a été déclaré.

Je constate un mal-être puissant, un épuisement physique et moral chez les adultes, conséquences des mesures sanitaires contraignantes, physiques et morales, qui entretiennent un état de stress par les pressions quotidiennes subies.

 

Les adultes vont mal, c’est une évidence, un constat.

Alors, comment voulez-vous que les enfants aillent bien ? Ils absorbent tout ce que « dégage » le monde autour d’eux…

 

C’est pour cela que je conseille aux adultes d’effectuer un « travail sur soi » pour se libérer de ce que cette période difficile génère mais aussi réveille, à savoir que les traumas d'hier sortent de leur hibernation, au clairon des sentiments d’insécurité, d’impuissance, d’isolement, d’aujourd’hui … et remontent à la surface, amplifiant le vécu actuel d’insécurité.

Le test musculaire kinésiologique démontre très simplement et clairement que le port du masque a un impact sur l’énergie vitale, et qu'avoir des interlocuteurs masqués installe inconciemment un sentiment d'insécurité totale.

Nous n’avons plus accès à la lecture innée des expressions du visage de l’Autre (langage non verbal) qui nous informent sur ses intentions, qui nous rassurent ou nous mettent en vigilance… Nous sommes donc, tous, en état de stress et vigilance permanent, donc les enfants le captent et le vivent aussi...

Eux-mêmes ont leur propre stress puisqu’ils ne voient toute la journée, dès la naissance, que des personnes masquées… De plus, certains enfants doivent porter le masque ce qui agit sur leur énergie vitale et les épuise…

Et quand ils retrouvent les parents qui ramènent à la maison l’accumulation de la négativité engrangée la journée, cela s’additionne et amplifie leur propre insécurité.

 

Afin de vous aider ainsi que les vôtres à traverser au mieux cette période difficile, je vous propose quelques préconisations.

Vous pourrez vous procurer les produits Deva dans certains magasins Bio, dans certaines pharmacies. 
Ce lien vous permettra de trouver un lieu proche de chez vous : Laboratoire DEVA

Précision importante (par les temps qui courent...) : je n'ai aucun lien ou conflit d'intérêts avec ce laboratoire - seuls la qualité et l'efficacité des produits me font le conseiller.

Préconisation N° 1 : Pour tous les adultes : Se protéger SOI, en RESPIRANT le « quantique Olfactif » aux huiles essentielles Deva – N°4  PROTECTION (adulte) –
A respirer avant de mettre « le masque du matin », pour se protéger (à renouveler dans la journée)😉 … mais également, comme un rituel de « nettoyage » pour se libérer du négatif accumulé, avant de rentrer à la maison, de retrouver son enfant.

Préconisation N° 2 : Pour les enfants contraints de porter le masque : à partir de 6 ans - faire respirer, en faisant 1 ou 2 allers/retours rapides sous le nez, avant de mettre le masque.
 Ne jamais mettre les huiles sur le masque ! On ne reste pas en contact permanent…

Préconisation N° 3 : En parallèle, prendre vous-même et donner à votre enfant (y compris les petits bébés, existe au sirop d’érable)  l’élixir floral DEVA  « Alchemille Argentée » qui apporte un sentiment de protection, de sécurité intérieure. C’est l’énergie de la Mère Universelle qui prend son enfant dans les bras pour le protéger, lui donner la confiance et la force de poursuivre le chemin.

Préconisation N° 4 : Faire un travail sur soi pour faire « baisser » l’état de stress imposé par l’environnement et les circonstances vécues actuellement. Votre apaisement sécurisera l’enfant, car il le ressentira aussi…

Préconisation N° 5 : pour les tout-petits, il n’y a rien d’autre à faire dans mon domaine que les préconisations précédentes pour les adultes et la prise d’ALCHEMILLE ARGENTEE.
Cependant, pour certains enfants qui, dès 2 ans, sont capables de verbaliser leur peur, en général des cauchemars… il est possible, si les troubles persistent d’effectuer une mini-séance adaptée de libération émotionnelle qui va « manger » peurs, tristesse, colère…

Préconisation N° 6 : En complément, à partir du CP (6 ans) – pour les angoisses, les symptômes de troubles de l’attention, d’hyperactivité : le cerveau en stress, n’offre que 3 possibilités d’action : la fuite – le combat – la sidération, donc bouger ou être agressif (colère) est une réponse au stress subi…
Faire vérifier systématiquement le bon équilibre des 2 hémisphères du cerveau en kinésiologie, grâce au Brain Gym, qui permet de retrouver du calme, de se sentir aligné, d'avoir accès à son potentiel ce qui facilite la concentration et fait sortir de l’hyperactivité que génère le stress.

Bien entendu, lors de cette séance, une fois l'équilibre entre les 2 hémisphères retrouvé, il est important de libérer les émotions engrangées et non digérées.